L’ombre des traces de la
Le tombeau s’étendait par-dessous planisphère comme un équipe d’artères figées dans la pierre, une architecture que le sable n’avait jamais profondément engloutie. L’air était stable, de plus ancien que les inscriptions gravées dans les murs. Khaled, les clavier encore posés sur la porte massive, sentait une pression intangible sup